Michèle Rivasi est professeure de biologie, et femme politique très engagée sur le sujet de la santé. Elle a fondé la CRIIRAD (Commission de recherche et d'information indépendantes sur la radioactivité et plus récemment le CRIIREM (Centre de recherche indépendant sur les rayonnements électro-magnétiques).
De 1997 à 2002, elle est députée de la Drôme, puis en juin 2009, elle est élue députée européenne avec Europe Écologie, pour la circonscription du Sud-Est (Provence-Alpes-Côte d'Azur, Rhône-Alpes et Corse).
Elle est également adjointe au maire de Valence et vice-présidente du Conseil général de la Drôme.

Michèle Rivasi se passionne très jeune pour la défense de l'environnement. Ses combats ont d'abord été associatifs avant de trouver un débouché dans la responsabilité politique.

Après la catastrophe de Tchernobyl en 1986, elle fonde la CRIIRAD, qui dénonce le scandale du nuage qui se serait arrêté aux frontières françaises.
Lors de son mandat de députée de la Drôme, en tant que membre apparenté du Parti socialiste et adhérente du parti Les Verts, elle a travaillé sur la gestion des déchets nucléaires, le syndrome de la guerre du Golfe, la responsabilité des produits défectueux, ou encore sur les risques technologiques.

Elle fonde, avec Corinne Lepage, l'Observatoire de vigilance et d'alerte écologique (Ovale) dont la mission est l'étude de l'impact des OGM sur la santé et l'environnement.

De 2003 à 2004, directrice de Greenpeace France, elle travaille sur plusieurs campagnes dont celle sur la pollution de l'air intérieur, la présence de produits cancérigènes dans le sang des citoyens européens, la prolifération des OGM...

En 2005 elle crée le Centre de recherche indépendant sur les rayonnements électro-magnétiques (CRIIREM).


Michèle Rivasi est par ailleurs membre du comité de parrainage de la « Coordination française pour la décennie de la Culture de Paix et de Non-violence ».