Simple militante, naturaliste et pacifiste, Marie-Christine Blandin s'engage en politique au côté des Verts dès 1984.
Élue à la région grâce à la proportionnelle, elle milite pour que notre démocratie respecte davantage les opinions et suggestions de chacun, à commencer par les plus pauvres.

La solidarité Nord/Sud est, pour elle, « une condition essentielle de l'avenir de la planète, toute comme une conscience partagée, à retrouver, que notre destin est intimement lié au bon état des écosystèmes ».
Elle pense qu'un des obstacles, trop peu combattu, au développement durable, est sûrement la corruption et son cortège de transgressions, d'exploitations illicites, de pollutions et de paradis fiscaux.

Marie-Christine Blandin s'est positionnée également sur les sujets qui concernent l'environnement et la santé.
En tant que sénatrice, elle est auteur de rapports dont celui qui traite des effets sur la santé des émissions de polluants, intitulé : « Risques chimiques au quotidien : éther de glycol et polluants de l'air intérieur », rendu public en janvier 2008.
Elle souhaiterait qu'en cas de doute, le principe de précaution soit appliqué, ce qui aurait évité de nombreux cas de maladies comme celles causées par l'amiante par exemple, et milite pour que les scientifiques « lanceurs d'alertes » soient écoutés plutôt que muselés…
Elle recommande d'ailleurs aux femmes en âge de procréer de ne pas utiliser de produits toxiques et demande aussi un meilleur étiquetage des produits.